Publié le 4 Février 2007


Un ami m'a envoyé une reliure contenant de vieux journaux Rustica.
C'était l'occasion de me replonger dans les années 40 - 50, 1948, précisément !
Ce journal en était alors dans sa 21 année... et se définissait comme " Le journal universel de la campagne".
Je dirais de la campagne, et de tous ceux qui avaient un petit bout de terrain. On retrouve des Rustica chez presque toutes les personnes ayant eu un jardin, ou aimant les animaux et les plantes.

Voici la couverture du 14 novembre 1948.
Dessin, peinture, ces couvertures sont parfois de jolis bijoux rustiques.






Rustica était aussi lu par les femmes, et il y avait une rubrique mode !
Voici un extrait d'un dessin du numéro 34 du 22 Aout 1948.
Le titre : "Préparez la lingerie des pensionnaires".
Les anciens reconnaîtront les vêtements qu'ils ont porté !






Rustica est toujours une revue appréciée des amateurs de jardins, et de campagne.
Aujourd'hui, Rustica est "L'hebdo Jardin". C'est une hebdo moderne, bien illustré, toujours plein de bonnes idées et de conseils.

http://www.rustica.fr/

Publié le 2 Février 2007


On voit aujourd'hui de moins en moins de bateaux de pêche en bois...
C'était encore très courant il y a 25 - 30 ans.
Ici, on voit un bateau entrer dans la forme de radoub Napoléon, (occupée cet hiver 2007 par le Marité).
Beaucoup de monde à bord, avant que le bateau ne soit mis au sec.


Les touristes aiment bien venir voir les travaux, sentir les odeurs, voir cette partie intime des bateaux, toujours cachée le reste du temps...



Bateau entrant dans la forme Napoléon
Cherbourg - Normandie


Publié le 1 Février 2007


Ce petit diaporama pour vous rappeler les thèmes et les photos du blog.
Vous pourrez retrouver ce genre d'images, et bien d'autres, en parcourant les archives.
N'oubliez pas non plus qu'il y a un autre article plus bas pour ce jour !







Publié le 1 Février 2007


Vieux immeubles du 19ème siècle, sur les quais du port de Cherbourg.
C'était le temps où la publicité, (on disait "la réclame"), occupait des peintres durant plusieurs jours, où les réclames étaient pérennes, et ne changeaient pas du jour au lendemain.
Il serait bien utile de les restaurer, ces vieilles peintures, comme des marques du passé.




Pignon sur les quais, à Cherbourg