Capitaine, un an déjà...
Publié le 29 Octobre 2007
Comme le temps passe vite !
L'image devrait parler d'elle-même...
...mais oui, cela fait déjà un an hier que le gentil Capitaine nous a quitté.
Mais comme dit ce proverbe, parfois écrit sur les tombes :
"Le temps qui passe n'efface pas le souvenir".
J'avais écrit ces mots voilà un an...
A la demande de Françoise, (voir com), je mets les deux poémes en mode texte .
Plus tard,tu reviendras...
Tes petites pattes cliquétteront sur le sol, et tu seras là...
Tu lécheras ma main.
Tu tourneras vers moi tes beaux yeux d'or.
Je baiserai ton front, et ton museau si doux.
Ton poil si léger ploiera sous ma caresse.
Contre moi, tu mettras ta jolie tête, bien contre moi.
Tu chercheras dans mon regard, mon amour, et tu le trouveras.
et tu me donneras ton beau, ton tendre coeur de chien.
***
Quand tu l'embrasses sur le front
Que tu caresses son beau museau
Il te lèche, et te regarde...
...Intensément.
Tu sais, ce sont là des baisers
Des baisers, des baisers de chien,
des yeux, des regards d'amour...
Il aime la caresse sur son flan
son poil doucement câliné
La chaleur de ton corp, ta présence.
Il tremble quand tu t'éloignes
Te cherche, et court vite vers toi
Et ton absence est une souffrance.
La nuit contre toi présent
Est ton amour et son bonheur,
Il aime contre toi se serrer
Et de nos amours n'en faire qu'un.
Tes petites pattes cliquétteront sur le sol, et tu seras là...
Tu lécheras ma main.
Tu tourneras vers moi tes beaux yeux d'or.
Je baiserai ton front, et ton museau si doux.
Ton poil si léger ploiera sous ma caresse.
Contre moi, tu mettras ta jolie tête, bien contre moi.
Tu chercheras dans mon regard, mon amour, et tu le trouveras.
et tu me donneras ton beau, ton tendre coeur de chien.
***
Quand tu l'embrasses sur le front
Que tu caresses son beau museau
Il te lèche, et te regarde...
...Intensément.
Tu sais, ce sont là des baisers
Des baisers, des baisers de chien,
des yeux, des regards d'amour...
Il aime la caresse sur son flan
son poil doucement câliné
La chaleur de ton corp, ta présence.
Il tremble quand tu t'éloignes
Te cherche, et court vite vers toi
Et ton absence est une souffrance.
La nuit contre toi présent
Est ton amour et son bonheur,
Il aime contre toi se serrer
Et de nos amours n'en faire qu'un.
Serge