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Publié le 7 Mars 2006


La mer en furie est toujours un beau spectacle. Retournons au Becquet de Tourlaville pour admirer les vagues se brisant sur la digue du petit port.
Pas bon de se promener sur les quais... 
Mais respirer l'air marin, avoir le visage fouetté d'eau marine n'est pas si désagréable que cela.



Normandie - Cotentin - Le port du Becquet



Publié le 4 Mars 2006


Lorsque la mer se retire, par les beaux jours d'été, le soleil joue dans les flaques, fait briller les galets, donne du relief au sable mouillé.
Le ciel se décore de nuages de beau temps.
Les maisons sur le cordon des dunes sont des silhouettes.





Marée basse en Cotentin



Publié le 23 Février 2006


J'ai déjà parlé de la Hague sauvage, de ses dunes, de ses falaises, les plus hautes d'Europe... Pays de landes, de fougères, d'ajoncs, (le fameux bouais-jan), de bruyères....
Falaises escarpées, à-pic vertigineux, roches énormes dressées au dessus des flots.
On y rencontre aussi des chèvres redevenues totalement sauvages...


Chèvres sauvages dans l'apothéose du soir



Herbes succulentes, ivresse de la hauteur

Publié le 22 Février 2006


Une petite ruelle de Cherbourg, dorée par la lumière. Ce n'est pas l'été, puisque les arbres sont dépouillés....
L'hiver, l'automne, ou le tout début du printemps... Le photographe ne le sait plus...
Il en est souvent ainsi, lorsque l'on puise dans ses vieilles archives, trop peu documentées...



Le passage Digard



Publié le 20 Février 2006



Paysages sauvages et grandioses, cette partie de la Normandie invite à l'évasion, aux grands espaces...

Falaises herbues, éboulements de roches, plages de sable et de galets, vastes baies ou petites criques, dunes.... On y rencontre mille paysages qui inspirent le respect, la joie, ou la tristesse.


Normandie - La Hague - Sentier des douaniers


Le sentier des douaniers, c'est des kilomètres de promenades, petites ou grandes, entre Urville- Nacqueville et Siouville, encore continue-t-il ailleurs...
Landes, rochers dénudés, vastes champs de fougères ou de bruyères, vue sur une mer immense. Sentiers de chèvre à pic au dessus des vagues, herbe rase, fleurs courtes et trapues, arbustes tordus par le vent.
Chaleur étouffante en été, ou vent d'ouest chargé d'humidité, on y choisira son climat et sa saison.

Normandie - La Hague - Sentier des douaniers - Landemer



Normandie - La Hague



Publié le 12 Février 2006


Le château de Tourlaville
Julien et Marguerite de Ravalet.


Le château de Tourlaville dans son cadre de verdure


Le château de Tourlaville a été contruit de 1562 à 1575, à la demande de Jean de ravalet., et occupe l'emplacement d'un ancien manoir médiéval,
Puis il passe à Charles de Franquetôt.
En 1777 Louis Hervé-Clérel de Tocqueville, (le père du célèbre Alexis de Tocqueville, auteur de "De la démocratie en amérique") en devient propriétaire.
Restauration en 1859 , et création de serres dans le parc.
Il subit de graves dommages en 39-45.
En 1955, c'est la Ville de Cherbourg qui en fait l'acquisition.


Source :  Le site de la ville de Cherbourg

Outre le parc magnifique qui entoure le château, et sa beauté propre, le Château de Tourlaville est célèbre pour avoir abrité les amours incestueux de Julien et Margurite de Ravalet.



Le 2 Décembre 1603, sous le règne d’Henri IV, étaient décapités à Paris, en Place de Grève, Julien et Marguerite de Ravalet, le frère et la sœur. Ils avaient été condamnés la veille, sous la double inculpation d’inceste et d’adultère, car Marguerite était mariée à un gentilhomme de Valognes, Jean Lefèvre de Hautpitois. Leur jeunesse, - ils avaient 19 et 17 ans - la beauté de Marguerite, leur courage aussi pendant le procès, enfin, il faut oser le dire, le caractère scandaleux de leur histoire, avaient attiré l’attention sur eux, et parfois même une sorte de sympathie générale.

Source :  http://perso.wanadoo.fr/abbaye.valognes/histoire/histoire.html





Marguerite de Ravalet



Extrait

Le château, dont alors on réparait les ruines, que j'aurais laissées, moi, dans leur poésie de ruines, car on ne badigeonne pas la mort, souvent plus belle que la vie, ce château a les pieds dans un lac verdâtre que le vent du soir plissait à mille plis... C'était l'heure du crépuscule. Deux cygnes nageaient sur ce lac où il n'y avait qu'eux, non pas à distance l'un de l'autre, mais pressés, tassés l'un contre l'eau comme s'ils avaient été frère et soeur, frémissants sur cette eau frémissante. Ils auraient fait penser aux deux âmes des derniers Ravalet, parties et revenues sous cette forme charmante ; mais ils étaient trop blancs pour être l'âme du frère et de la soeur coupables. Pour le croire, il aurait fallu qu'ils fussent noirs et que leur superbe cou fût ensanglanté...


Epitaphe

«Ci gisent le frère et la soeur. Passant, ne t'informe pas de la cause de leur mort, mais passe et prie Dieu pour leurs âmes».


Publié le 7 Février 2006



Le pays sculpté par le vent



Un petit tour dans la Hague, avec ses paysages sauvages et abruptes...



Normandie - Cotentin - Baie d'écalgrain



Il y a quelques années, sur mon site perso :
http://perso.wanadoo.fr/serge.passions/la_hague.htm
j'évoquais le sentier des douaniers, sentier pour bons marcheurs, sentier casse-pattes, à parcourir l'hiver ou l'été, selon les impressions que l'on veut conserver.
Sentier des fraudeurs, au 19ème siècle, ou l'on trafiquait beaucoup avec les îles anglo-normandes...


La Hague avec ses paysages de landes déserte, ses bruyères , ses roches hérissées, ses sentiers escarpés, plaira particulièrement aux amoureux de la nature. Galets, dunes, mares, viennent rompre l'âpreté du décors, si souvent choisi par les réalisateurs de cinéma et de télévision. Il y fait si bon vivre que nombre d'entre eux y sont venus habiter.

Au loin , le Nez de Jobourg se dresse dans les brumes. Quelques coteaux plus loin apparaît la silhouette  du prieuré de st. hermel, bâti pour résister au vent. La grande vallée s'enfonce dans les terres , un filet d'argent sinue sous les maigres arbres tordus par le vent. Vallonnements majestueux, beiges, verts, mauves. Les prairies d'herbes sèches s'agitent comme les vagues de l'océan, sous le souffle du vent marin. Parmi les fougères rousses, la bruyère se rouille déjà. Le "bouais jan" est ras et encore peu fleuri.

Un mois plus tôt, les papillons azurés pompaient le nectar dans les urnes des callunes...

Puis les collines se font plateau, champs immenses sans barrières ou les bêtes vont libres.


Normandie - Cotentin - La Hague.
Au loin, la plage de Vauville, les dunes.


La mer est partout présente en Cotentin. Au nord, à l'est, à l'ouest...
Aussi, je vous propose ce poème en patois normand du Cotentin.



Le rot de la mé
   


Quaund lus gens sount partis, ch' est pouor les syins qui restent
Qué l' rot d' la mé, l' hivé, s' amount' dauns nous hammiaos.
Oh mé, fais doun graund brit. Ch' est pouor les syins qui restent.
Travâl'nt-i, ou groum'nt-i, meur'nt-i dauns lus batiaos ?

Brit d' la mé, nyit d' hivé, cha qué j' té troue terriblle
Brit d' la mé, seir d' Avri, t' es itou men anmin.
T'entenr' sauns trembllaer-nun, pouor mei ch' est imposiblle,
Ch' est coumm' le rabâch'ment d' eune horreu d' litanîn.

J' m' en vyins guettyi la mé qui s' nînt dauns la brunâle,
Dreit coumm' l'iao s'anerchit, à la timbae d' la nyit.
Oû pus p'tit écllipet, dauns m'n idae touot tressâle,
J' pense es péris d' hiyi, j' pense es pêqueus d' anhyi.

Men quoeu est chens haôt-bas quaund s' ent'suuz'nt vagu's su vagues
Qui s' mât'nt coumm' des poulans et cllaqu'nt à graunds couops d' ran
Su la falais' qu' o lèqu'nt, et qu' o pèl'nt, et qu' o haguent,
Mais la falais', croquie, ritounne en dépuraunt.

J' i trachi byin oû louen, quaund j’étais enco d' âge
J' i veu des mouories d' gens et j’lu d'maundais lu qu'min,
Et y-où qu' i surbutaient s' ils 'taient lassaés d' lu viage,
Touot boun'ment, et d'où vyint, pyich' né m' ount répounin.

Mei, j' entends la buulouos', jé sais qu' la mé affole,
Et qu' i y-a d' la minsèr' dauns ma taêt', dauns men quoeu.
mei, j' entends l' rot d' la mé qui chaunte, et rit, et niole.
Fais doun du brit, la mé, j' creis qu' ch' est pouor mei touot seu !

     

Côtis-Capel - Raz-Bannes



Quelque liens pour mieux découvrir cette Normandie sauvage :


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Publié le 6 Février 2006



Avec le nouveau look du blog, qui me permet comme je vous le disais, de mettre des photos plus grandes, il y a aussi les vieilles photos d'archive qui ressortent.

Nous avons accumulé depuis 30 ans, beaucoup de photos argentiques, et surtout beaucoup de diapositives couleur.
Nous avons maintenant la possibilité de les scanner.

Pour commencer, le port et les bateaux de pêche...
Comme on le voit, les petits bateaux de pêche étaient bien entretenus, et peints de belles couleurs.

Un bateau de Dieppe à Cherbourg

Nuances de verts et de bleus dans l'avant-port de Cherbourg



Publié le 3 Février 2006


J'irai revoir ma  Normandie


Quand tout renaît à l'espérance,
Et que l'hiver fuit loin de nous,
Sous le beau ciel de notre France,
Quand le soleil revient plus doux,
Quand la nature est reverdie,
Quand l'hirondelle est de retour,
J'aime à revoir ma Normandie !
C'est le pays qui m'a donné le jour.


J'ai vu les champs de l'Helvétie,
Et ses chalets et ses glaciers ;
J'ai vu le ciel de l'Italie,
Et Venise et ses gondoliers.
En saluant chaque patrie,
Je me disais : aucun séjour
N'est plus beau que ma Normandie !
C'est le pays qui m'a donné le jour.


Il est un âge dans la vie,
Où chaque rêve doit finir,
Un âge où l'âme recueillie
A besoin de se souvenir.
Lorsque ma muse refroidie
Aura fini ses chants d'amour,
J'irai revoir ma Normandie !
C'est le pays qui m'a donné le jour.


Frédéric Bérat
(Rouen 1801- Paris 1855)


Frédéric Bérat est né à Rouen le 11 mars 1801.

Il a composé et écrit l'hymne régionnal probablement le plus connu, sur le bateau qui le menait de Rouen au Havre. Créée pour la chanteuse Loïsa Pujet, la chanson obtint immédiatement un succès considérable et fut vendue à 45 000 exemplaires lors de sa parution.



Publié le 30 Janvier 2006


Retour sur les travaux de maintenance de la Marité.
Je dis cette fois "LA" marité... car si tous les sites qui en parlent disent "LE" Marité, c'est ce nom, "La Marité" qui est écrit sur un panneau explicatif donnant sa taille, son poids, etc...
... En même temps... c'est "Marité", tout simplement, qui est écrit sur la coque...
La même chose était arrivée au sujet de Normandie, le célèbre paquebot...
Il paraît que les gens de gauche disaient "Le Normandie", les gens de droite, "La Normandie"...
Il était tout simplement "Normandie"...
Tout est toujours compliqué, en Normandie...
P' têt ben qu'oui, p' têt bien qu'non !
Allons donc pour "La Marité".
Comme vous le voyez, la peinture est gratée, et La Marité sera repeinte à neuf... Probablement, elle conservera sa couleur...

Pour finir....Le site officiel dit "Le Marité".... (surnom de Marie-Thérèse)...






Photos Guy-Noël



Publié le 11 Janvier 2006


Le drapeau , le blason normand, font polémique !
Lions ou léopards ?
Deux léopards ou trois léopards ?
Blason de Guillaume le conquérant... ou pas


D'abord, un peu d'héraldique pour s'y retrouver.




HERALDIQUE



Le léopard héraldique est souvent confondu avec le lion dans la mesure où il est représenté comme lui avec une crinière et sans aucune caractéristique de pelage tacheté.
En fait le léopard héraldique se distingue du lion en ce qu'il est représenté "passant", c'est-à-dire marchant sur trois pattes, la quatrième dressée, corps de profil et tête de face, et queue redressée vers l'extérieur (et non retombant sur le dos, comme pour le lion). Le léopard peut être "lioné", ou "rampant" (la position héraldique du lion), s'il est dressé sur ses pattes arrières. Il ne se distingue plus alors que par la queue et la tête.

(le léopard est dans le bestiaire médiéval un cousin du lion. "Léo-pard", soit batard du lion (leo) et du "pard", la panthère).



Deux ou trois "cats" ?




L’écu rouge à deux lions jaunes tournant la tête de face, blasonné de gueules à deux léopards d’or l’un sur l’autre est l’emblème héraldique de la Normandie continentale.

Dans les îles anglo-normandes, les deux bailliages de Jersey et de Guernesey qui constituent la Normandie insulaire portent un blason à trois léopards, comme celui de Richard Coeur de Lion, roi d’Angleterre et duc de Normandie.

Lequel des deux blasons est le plus ancien demeure un sujet de polémique et de recherche historique.


C'est le drapeau rouge à deux léopards jaunes (surnommé en normand  les p’tits cats), que hissent la plupart des entreprises, mairies et autres collectivités territoriales normandes, dont les deux conseils régionaux. Il est très majoritairement reconnu comme emblème de la Normandie depuis longtemps et se voit partout. Sa popularité et son importante diffusion sur tout support tient à ce qu’il est identique aux armoiries de la Normandie continentale, blasonné "de gueules à deux léopards d’or"

Le litige historique sur le blason normand a amené certains à préférer un drapeau rouge à trois léopards jaunes (surnommé en normand les treis cats), malgré la confusion avec les emblèmes de l’Angleterre induite par ce choix.


Le drapeau à croix de Saint-Olaf.
C’est un drapeau rouge orné d’une croix dite de Saint-Olaf, à croix rouge bordée d’or, allongée au battant à la manière des drapeaux des nations scandinaves, c’est-à-dire suivant le modèle des drapeaux des pays et régions nordiques.

Le drapeau normand à la croix scandinave, appelé Croix de St-Olaf a été créé en 1937 par Jean Adigard. Ce drapeau a été également adopté par le mouvement normand dans les années 1970. Il a l’avantage de reproduire à la fois les couleurs du blason normand et d’y associer l’héritage nordique de la province. Il est promu notamment par des associations culturelles et des associations régionalistes revendiquant l’héritage des Vikings ou Normands.



Qu' en est-il donc des Armes à deux Leopards si répandues de nos jours en Normandie ?



La guerre de cent ans s' est déroulée de 1337 à 1453, et notre Duché sous domination anglaise a vu sa structure modifiée. Le Duc de Bedford, oncle du Roi d' Angleterre, Henri VI, et régent du Royaume a fixé pour l' Echiquier de Normandie des Armes " à deux Léopards surmontés d' une fleur de lys ". L' Université de Caen, fondée par ce Duc de Bedford, reçoit un sceau "à deux Léopards" en 1436.

Après la guerre de Cent ans, le Prince Charles de France, en rébellion contre son frère le Roi Louis XI, est reconnu Duc de Normandie et il prend naturellement l' écu d' Armes de l' Université de Caen : " De gueule à deux Léopards d' Or "

Ce bref rappel historique indique donc que c' est la " Normandie Insulaire " qui serait dans la tradition, les Armes actuelles de la Normandie continentale ne sont apparues que plus tard au cours de la Guerre de Cent ans et sous influence anglaise.

Le Contre-sceau de Richard Coeur de Lion, en 1198, comportait l' inscription suivante " Ricardus, Dux Normanorum et Aquitanorum et Comes Andegavorum " ( Richard, Duc de Normandie et d' Aquitaine et Comte d' Anjou ). À cette époque le Duc Roi régnait des Îles Hébrides et de l' Ecosse jusqu' aux Pyrénées. C' était le plus puissant Etat d' Europe. L' Anjou puis l' Aquitaine grâce aux mariages successifs de Mathilde l' Emperesse avec Geoffroy d' Anjou Plantagenêt, puis d' Henri II avec Aliénor d' Aquitaine, avaient ajouté une façade atlantique au Royaume d' Henri 1er Beauclerc.



Le blason normand n'aurait rien à voir avec Guillaume le Conquérant.




Les citations et images proviennent des sites ci-dessus.



Publié le 9 Janvier 2006


Le Marité vient assez souvent à Cherbourg....
Il a son port d'attache dans la belle ville de ROUEN....

Le Marité, dernier Terre Neuvier en bois existant est un beau trois-mâts qui était destiné à l'origine à la pêche à la morue sur les bancs de terre-Neuve...
Son port d'attache était Fécamp...
Il est maintenant la propriété d'un groupement d’intérêt public, (Région Haute Normandie, Villes de Rouen et Fécamp, Conseils Généraux de l’Eure, de la Manche et de la Seine Maritime. Communauté d’agglomération Seine-Eure, groupe Total, Association pour le retour du Marité en Normandie et Fondation pour le Patrimoine Maritime et fluvial).

Il est très connu depuis son tour des ports de France dans l'émission Thalassa.

Il est actuellement au sec pour des travaux divers dans une cale sèche proche du port de plaisance.
Il n'est pas très facile de le photographier, car des barricades interdisant le chantier ont été installées.




Longueur hors tout : 47 m 
Flottaison : 32 m 
Largeur : 8 m 
Tirant d’eau : 4,2 m 
Tonnage : 170 t 
Voilure (13 voiles) : 650 m2 
Moteur : 460 cv



Le Marité en cale sèche


Le drapeau normand aux deux léopards

 Le drapeau aux deux léopards flottait dans le grément du Marité, tout le long de son tour des ports de France, rappelant à tous le passé et le présent maritime de la grande Normandie, dont les côtes variées s'étendent de la Picardie à la Bretagne...


Le Marité à Cherbourg



Publié le 21 Décembre 2005


Voici une photo qui m'a été envoyée par une personne qui aime beaucoup sa ville, ROUEN.
La cathédrale est illuminée toute l'année, mais cet air de fête, cette cathedrale d'or, est magnifique, et evoque bien les illuminations de Noël.



Vue sur la cathedrale de ROUEN

Voir  la photo complète en grand

photos AR


Publié le 26 Septembre 2005


Pas beaucoup de précisions sur les photos d'aujourd'hui, sinon qu'elles sont prises dans le vieux Rouen. On peut admirer les célèbres colombages, typique de la Haute-Normandie....
Quoiqu'il y  ait aussi des maisons à colombage en Basse-Normandie....
...Et que  pour nous, vrais normands, il n'y a ni Haute, ni  Basse normandie.... mais seulement une grande et belle région,  LA NORMANDIE, correspondant à l'ancien duché de Normandie...dont les côtes vont de la Picardie à la Bretagne.





Photo : AR.  L.



Photo : AR.  L.



Publié le 24 Septembre 2005


Aujourdh'ui, ce ne sont pas  mes photos que je vous présente....
Voici des images du vieux Rouen.  Elle nous font découvrir une ville trop peu connue, dont le patrimoine historique et architectural est immense....





Le gros horloge
Photo AR. L

Le Gros Horloge est un des monuments les plus connus de Rouen. Il enjambe la rue à qui il a donné son nom. La construction du Gros Horloge s'étale sur 5 siècles. Il servit d'Hotel de ville et de beffroi.



Maisons de ville de style normand
Photo AR. L.



Maisons de ville de style normand
Photo AR. L.

Merci AR.